Dans ce second volume, placé sous le signe des «Diableries», - référence au tour provocateur qu'avait souvent l'œuvre de Serge Leclaire, mais surtout à l'insistance qu'il mettait à placer son travail sous le signe de l'altérité - c'est essentiellement au clinicien que l'on a affaire et en particulier à celui qui, passionné par les «demeures de l'ailleurs», se tourne vers l'étude de la psychose. On trouvera également un ensemble de textes où l'auteur explicite le rapport d'altérité que la psychanalyse doit soutenir avec et dans la société, une partie y étant consacrée à Psy-show, dont la gageure fut de porter jusqu'à l'écran la mise en scène de la psychanalyse dans la cité.