À l’approche du trentième anniversaire du 10 mai 1981, je me suis plongé dans mes archives personnelles.
Consultant ces documents, le désir m’est venu de tenter de raviver ces moments de vie, de coucher sur le papier mes sensations d’alors, mes impressions, mes souvenirs avant qu’ils ne se perdent, de rassembler des pièces d’un puzzle à jamais incomplet.
De faire revivre au présent un ami qui nous manque.
J. L.