Erreurs judiciaires, erreurs des sens ou de jugement, a-t-on le droit de se tromper ? Conditionnés par une méfiance qui nous en laisse entrevoir les conséquences catastrophiques, doit-on se contenter de rejeter l'erreur sans tenter de savoir ce qu'elle est intrinsèquement ? Notre expérience du monde ne renvoie-t-elle pas à notre propre errance ?