Stéphane Malandrin est né en 1969 à Paris. Il habite Bruxelles. Le Mangeur de livres est son premier roman.
Je suis le fils de Beethoven
En savoir plusGoûtu, gourmand, avec une note de reviens-y qui se savoure au fil des chapitres, ce roman a quelque chose des grands récits du romantisme, tout en en détournant tous les codes.
À la manière du grand compositeur, quelquefois absent mais toujours en creux comme la statue du Commandeur de Dom Juan, il écrit son texte en partition symphonique, enchaînant mouvements lents et emportés.
Le fils de Beethoven traite avec brio des thèmes de la paternité de la création artistique qui s’y entrecroisent singulièrement.
Loufoque. Rocambolesque. Rabelaisienne. Surréaliste.
Pétri tout à la fois de romantisme et de créativité jubilatoire, le texte séduit par la truculence de son ton, des images conviées, de son humour acidulé.
« Ludwig Van Beethoven est mort sans laisser de descendance. C'est ce que la tradition et l'histoire nous enseignent. Le récit d'Italo Zadouroff deuxième du nom raconte le contraire... Fable littérair... » Lire plus
« Fils de Beethoven et d'une servante hongroise, le narrateur ressasse d'abord sa haine pour ce père qui a abandonné sa mère. Il ne médite que de l'assassiner mais se ravise au dernier moment en découvr... » Lire plus
« Je suis littéralement subjugué par "Le mangeur de livres", d'une rare érudition, où se mêlent conte magique et récit initiatique. Il faut que, amoureux des mots, j'apprécie d'en apprendre de nouveaux,... » Lire plus