Nous vivons dans une société à bout de souffle, désenchantée et plutôt fière de l’être. Une société d’où l’esprit aurait été chassé par la matière, la raison numérisée ne laissant guère de place au rêve.
Placer la réflexion « aux quatre vents du monde » c’est précisément rêver, pour changer le monde, de lui redonner souffle. Mais où trouver le souffle, lorsque les interdépendances croissantes paralysent les États et semblent condamner toute action à l’impuissance ? Comment transformer ces interdépendances subies en projet commun ?
En mobilisant les forces imaginantes du droit.
Alors que les écueils se multiplient (terrorisme global, dérèglement climatique, désastre humanitaire des migrations, crises financières et socia...
Lire plus« LIVRE COUP DE CUR, Si je me suis permise autant de citations; c'est que chaque phrase est un paquet d'intelligence qui parlera, via le métaphore des vents, aux "profanes" du sujet ; mais aussi à c... » Lire plus
« Les vents s'affrontent et s'emmêlent comme les mouvements du monde : l'opposition de la sécurisation et de la liberté, de l'écologie et de l'exploitation de la terre, génèrent, grâce au droit internat... » Lire plus