La Chine est forcément une histoire d’amour. Impossible de rester indifférent. Envoutés, nous l’avons été. La Chine nous a pris à corps et à cœur. Mais que d’interrogations aussi. Sauf à être aveugle, l’analyse est sévère. Après des décennies de furie maoïste, on continue d’y violer allègrement les règles élémentaires de la démocratie. Pas question d’être complice. La Chine abrite le dernier grand goulag du monde. Le Tibet est sous la botte. Face à cette Chine où cohabitent tant d’extrêmes, nous avons chacun à notre manière, porté un regard à la fois ouvert et sans complaisance, admiratif et critique, enthousiaste et caustique, tendre et dur, juste mais jamais neutre. Nous avions déjà fait équipe ensemble il y a quelques années pour un livre sur le Japon. La chine, civilisation mère de l’Asie orientale, était une destination qui s’imposait d’elle-même.
« En Chine, on mange du serpent(braisé), du crapaud(farci), du pénis de tigre(relevé/ bandant, non?) du chameau et des chiens ( pas les petits Pékinois, ça c'était pendent la Grande Famine sous Mao et s... » Lire plus