Quand Marcelo disparaît, Irene rassemble ses économies, quitte Madrid et embarque pour un voyage autour de la Méditerranée à bord d’un cabriolet. De restaurants en hôtels de luxe, de la Cinecittà à Sète, des décors de Ben-Hur aux cimetières marins, chaque escale a son lot de solitude et de rencontres. Telle une sorcière de l’amour invoquant le fantôme de Marcelo, elle ressuscite l’homme de sa vie dans le corps consommé des amants qu’elle collectionne, jusqu’à ce que le roman d’amour prenne des allures de thriller dramatique, et la quête amoureuse celle d’une quête d’immortalité...
Portrait sublimé et fantasque d’une femme à la dérive, habitée par la lecture d’un Cervantès, les disques d’un Lou Reed, ou encore le souvenir d’un Fellini réinventé, Irene est aussi une profonde réflexion sur le temps et la folie, qui a valu à Manuel Vilas, auteur d’Ordesa et d’Alegría, le prestigieux prix Nadal du meilleur roman espagnol.
« Un livre en noir et blanc, splendide et crépusculaire. « Irene », les tragédies et ses méandres implacables. Une femme vertigineuse entre la fureur de vivre et l'abîme du désespoir. La lumière tra... » Lire plus
« De Manuel Vilas, qui m'avait impressionné avec « Ordesa », je pressentais que cet « Irene », qui m'a été proposé dans le cadre d'une Masse Critique, ne serait pas non plus ordinaire. Et, malgré des di... » Lire plus
« "Femme fatale" chantait Nico. Irène, la cinquantaine conquérante, vient de perdre son époux Marcelo des suites d'une longue maladie. Persuadée de le revoir au moment d'atteindre l'orgasme ( ! ), elle... » Lire plus
« Irene, qui formait avec son mari Marce un couple inséparable depuis une vingtaine d'années, vient de le perdre et traverse une intense période de deuil. Elle vend ses biens immobiliers, ainsi que le m... » Lire plus