Je me souviens de l'imperméable rouge que je portais l'été de mes vingt ans Lydia Flem

Paru le 03/03/2016

Les habits collent à la peau. Ils nous protègent et nous exposent. Le vêtement happe le regard social et trahit notre part d’ombre. Les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans cette course aux apparences.

Dans ce livre, Lydia Flem raconte les vêtements de ses souvenirs. Elle mêle avec malice le grave au frivole. Sur un mode ludique, elle poursuit sa quête de l’intime en adoptant une forme devenue classique depuis les Je me souviens de Georges Perec dans les années 1970. Cette forme, Perec l’a métamorphosée après l’avoir empruntée à l’artiste américain Joe Brainard, ami de son ami Harry Mathews.

De la petite fille à l’amante, de la séductrice à la militante des droits de la femme et des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans), Lydia Flem s’amuse à psychanalyser nos gestes et nos codes vestimentaires. Cette promenade personnelle croise la garde-robe de nos souvenirs collectifs, photographies de mode, stéréotypes du savoir-vivre, scènes de cinéma, mots de la littérature, images de l’histoire et de l’actualité.

Comme dans ses livres précédents, Lydia Flem explore ce qui appartient à chacun et à tous, le plus singulier et le plus universel.

Littérature française
Récits/Chroniques
Collection : La Librairie du XXIe siècle
Format : Broché
Pages : 256
EAN : 9782021307665 17.00 € TTC
Disponible en version numérique
Format : E-Pub
11.99 € TTC
EAN : 9782021307689

Les avis de lecture...

Le Monde des Livres Raphaëlle Leyris

Je me souviens de l'imperméable rouge que je portais l'été de mes vingt ans

Dans Je me souviens de l’imperméable rouge que je portais l’été de mes vingt ans, évident hommage à Georges Perec et délicieux exercice de remémoration centré sur les atours, Lydia Flem prouve au ­contraire l’importance de ceux-ci – les pans de mémoire qu’ils charrient, ce qu’ils racontent de nous…
Télérama Juliette Cerf

Je me souviens de l'imperméable rouge que je portais l'été de mes vingt ans

C'est ce que révèle avec malice Lydia Flem. Inspiré par Georges Perec, son récit se compose de quatre cent soixante-dix-neuf fragments sensuels qui tissent une réflexion profonde sur nos vêtements. Sons et sens n'y font plus qu'un.
CaroGalmard 09/12/2021

« Cet objet littéraire est comme un album où toutes les photos seraient mélangées. On y trouve côte à côte des souvenirs de la semaine dernière, comme des années 60. Des clichés de famille ou des portra... » Lire plus

monprecieuxlivre 06/05/2020

« Aujourd'hui, j'ai lu "Je me souviens de l'imperméable rouge que je portais l'été de mes vingt ans" de Lydia Flem. J'étais tombée en amour du rouge carmin de sa couverture et de la puissance évocatrice... » Lire plus

thisou08 25/04/2017

« J'ai emprunté ce livre pour son titre, qui me plaisait beaucoup. Je ne l'ai même pas feuilleté ( heureusement ). Aussi, quand je l'ai ouvert, quelle surprise ! Je me suis dit : « Oh, mon dieu, je n'a... » Lire plus

claraetlesmots 12/04/2016

« Dans ce livre inclassable car ce n'est pas d'un recueil de nouvelles ni un roman, Lydia Flem nous raconte et surtout se raconte depuis son enfance. En se souvenant d'un événement familial ou historiq... » Lire plus

silencieuse1 11/03/2016

« Un régal d'humour et de sentiments. Se garde au fond de son sac pour être lu par petites touches, avec gourmandise.On retrouve ici l'esprit de Geoges Perec, mais cette fois dans un environnement fémin... » Lire plus