« C’est au début de la morte saison que mon père s’est tué. J’avais cinq ans. La fête foraine était à nos portes. La fête foraine de Charleville-Mézières. Le bruit des manèges m’appelait, la musique aussi, la voix des forains dans les haut-parleurs, l’attrait de la vitesse et des tournants. Un besoin d’envolée. Partout dans les rues, dans les aventures, sur les places, les manèges s’étaient posés comme des planètes, promesses de futurs bonheurs. »
« Olivier Charneux raconte dans "L'enfant de la pluie" une enfance comme ça : sourire et chagrin. Avec une tendresse et une simplicité poignantes, il fait resurgir l'enfant qui attend son papa, le garço... » Lire plus