Dans une ville anonyme du nord de l'Angleterre, Chanda et son amant, l'entomologiste Jugnu, ont disparu. De méchantes rumeurs agitent la communauté pakistanaise en butte à un enseignement de l'islam perverti, un code de l'honneur qui peut mener au meurtre, un racisme blanc qui n'a rien à envier à la cruauté et à l'intolérance de ses victimes.
Ce formidable récit d'une résonance singulièrement actuelle explore les tourments d'une famille emblématique durant l'année qui suit le drame. Il évoque aussi la nostalgie du pays perdu et des racines oubliées. Mêlant avec un égal bonheur analogie et métaphore, sa prose poétique lui confère un ton élégiaque et une grande unité esthétique, soutenue par le lent mouvement des saisons, qui viennent contrebalancer la violence des conflits humains et souligner la beauté autant que la brutalité de ce monde.
« La cité des amants perdus c'est le roman de la difficultés des immigrants à touver leur place dans leur pays d'accueil. Parce que les habitants de "souche" ne leur laissent pas de place. Et parce que ... » Lire plus
« Je l'avais lu dans la foulée de la vaine attente. j'ai beaucoup appris sur le poids des traditions ancestrales qui gèrent les relations familiales pakistanaises d'autant plus difficiles quand les nou... » Lire plus
« J'avais entendu beaucoup de bien de ce livre depuis longtemps...J'ai enfin pu juger par moi-même! J'ai mis un peu de temps pour m'habituer au rythme et à la narration. On passe des pensées de Kaukab,... » Lire plus