« L’un des nouveaux maîtres du tartan noir, avec une jolie touche d’ambiguïté morale. » Sunday Express
Lors de l’impitoyable hiver 1947, dans un contexte de grande pénurie, la communauté juive de Garnethill est perturbée par plusieurs vols de bijoux. Douglas Brodie, flic avant la guerre, ex-officier qui a servi d’interprète en Allemagne à la fin des hostilités et désormais reporter à la Glasgow Gazette, est chargé d’enquêter par son vieil ami le tailleur Isaac Feldmann. Ses investigations le lancent sur une piste extrêmement sensible : une « route des rats » ou filière d’exfiltration de criminels nazis, qui, au lieu de passer par l’Autriche et l’Espagne afin de gagner l’Amérique du Sud, part de Hambourg, avec Glasgow pour étape et les États-Unis pour destination finale. Brodie, envoyé en mission dans le port hanséatique afin d’y interroger des criminels de guerre dans le cadre de leur procès, en profite pour identifier les passeurs. De retour en Écosse, il découvre que le réseau bénéficie de complicités en haut lieu...
Si la critique britannique a qualifié Ferris de « nouveau Ian Rankin », La Filière écossaise fait davantage penser à Philip Kerr.
Né dans la petite ville industrielle de Kilmarnock en Écosse, Gordon Ferris a eu une vie professionnelle bien remplie avant de commencer à écrire : d’abord programmeur informatique, il a travaillé pour le ministère de la Défense britannique puis est devenu consultant pour Pricewaterhouse.
Traduit de l’anglais (Écosse) par Hubert Tézenas
« Le simple fait de placer les aventures de Douglas Brodie, soldat démobilisé, ancien flic reconverti dans le journalisme, en 1946 plaçait la série de Gordon Ferris dans l'histoire. Le portrait de Glasg... » Lire plus
« Avec ce roman je découvre cet auteur. « La filière écossaise » est le troisième volume des aventures de Douglas Brodie, ancien flic de Glasgow reconverti dans le journalisme au Glasgow Gazette. Hiv... » Lire plus