Aujourd’hui, pour questionner les littératures dans leur rapport au monde, donc à chaque être vivant, il serait indécent de ne pas considérer toutes les oppressions : Palestiniens, Tibétains, Ouïghours, Rohingyas, Tutsis, Kurdes, Ukrainiens, Haïtiens, Syriens, peuples-nations effacés dans l’Outremer français... Je les vois et les nomme un à un au cœur en apparence bien impuissant de nos littératures !...
“Une forme d'utopie à contre-courant des discours de haine et de repli qui dominent le paysage actuel, mais surtout un appel à se mettre en mouvement pour trouver la forme d'une révolution de la pensée et de l'action.”