J’ai été frappée par la peinture de Vallotton au sortir de l’adolescence. Une peinture bien plus violente que froide, parfois même cruelle. Elle m’accompagne depuis. Elle m’est contemporaine. Elle est contemporaine de ma propre solitude. La peinture de Vallotton ne me raconte pas d’histoires, ne me berce pas d’illusions, ne me jette pas des paillettes aux yeux. Mais je me sens épaulée par elle.
M.D.
« Ce fascicule de moins de cinquante pages, inclassable comme le peintre, me donne envie de revoir l'exposition (finissante) au Grand Palais en emportant le regard de Maryline Desbiolles et une trace de... » Lire plus