Né le 8 mars 1913 dans le village de Tizi-Hibel, son nom est Aït-Chabane, Feraoun étant le nom attribué par l'état-civil français. Boursier à l'Ecole Primaire Supérieure de Tizi-Ouzou, il entre à l'Ecole Normale de Bouzaréa en 1932 où il fait la connaissance d'Emmanuel Roblès. En 1935, il est nommé instituteur à Tizi-Hibel où il épouse sa cousine Dehbia dont il aura 7 enfants. En 1957, nommé directeur de l'Ecole Nador de Clos-Salembier, il quitte la Kabylie pour les hauteurs d'Alger. Il entame une correspondance avec Albert Camus, et reçoit le prix populiste en 1953 pour son roman La terre et le sang. Devenu inspecteur des Centres Sociaux, il est assassiné par l'OAS le 15 mars 1962 à quatre jours du cessez-le-feu.
Les Chemins qui montent
En savoir plus« Cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie oblige, je me suis replongée dans cette période douloureuse de notre Histoire. Nombre de magazines ont consacré un numéro spécial ou un hors-série à la g... » Lire plus
« {Avis lecture} and #128214; # and #65039; and #8419;Les_chemins_qui_montent de Mouloud Feraoun . and #9899;Ça fait plus de 8ans que ce livre était dans ma PAL. Pas motivée pour le lire jusqu'à ces derniers tem... » Lire plus
« Les chemins qui montent est un roman qui m'a bouleversé dès les premières pages, on suit l'histoire de Dahbia et Amer, une histoire d'amour née dans la misère et la pauvreté à Ighil-nezman en Algérie,... » Lire plus
« Une petite merveille qu'il faudrait relire plus d'une fois pour tout comprendre.... » Lire plus
« Roman à caractère autobiographique, Le fils du pauvre nous plonge dans la Kabylie du début du siècle. Un jeune garçon, Fouroulou est le fils unique de sa famille. Il en tire quelques avantages. Dès le... » Lire plus