Nadeem Aslam, né au Pakistan en 1966, a quatorze ans lorsque sa famille, fuyant le régime du général Zia, s’installe en Angleterre. Après des études à l'université de Manchester, il se consacre à l'écriture. Avant Le cri de l’oiseau de pluie, Le Seuil a publié La Cité des amants perdus (2006), finaliste du Booker Prize, La Vaine attente (2009) et Le Jardin de l’aveugle (2014) sélectionnés par plusieurs prix littéraires français et étrangers. L’œuvre de Nadeem Aslam est publiée dans une douzaine de pays. L’auteur partage aujourd’hui son temps entre l’Angleterre et le Pakistan.
Le Sang et le Pardon
En savoir plus« Le cri de l'oiseau de pluie est le premier roman de Nadeem Aslam, c'est aussi le regard porté par l'adolescent qu'il était au début des années 80 sur son pays natal le Pakistan. Il avait quatorze ans... » Lire plus
« En commençant ce livre écrit par un auteur pakistanais ayant quitté son pays à l'adolescence pour suivre son père communiste persécuté par le régime, et en découvrant ensuite que l'histoire se déroula... » Lire plus
« Je remercie l'inconnue croisée à la bibliothèque qui m'a conseillé cet auteur car c'est une très belle rencontre littéraire. Le jardin aveugle est un peu la magie des 1001 nuits mise à l'épreuve de la... » Lire plus
« Aujourd'hui, c'est l'Afghanistan qui est à l'honneur, avec La vaine attente de Nadeem ASLAM. Ce roman embrasse la tumultueuse diversité culturelle qui fourmille en Afghanistan. Mais aussi l'horreu... » Lire plus
« Un auteur Pakistanais pour un roman se passant en Afghanistan deux pays qui se croisent dans un conflit qui n'en finit plus . Un groupe de personnages se rencontrent dans la maison d'un médecin . ... » Lire plus
« ne maison en Afghanistan, pays où règne la guerre depuis 25 ans, dans une zone où soldats russes, intégristes talibans, GI américains ont fait leur loi, se sont affrontés se sont succédés, se trouve u... » Lire plus
« La cité des amants perdus c'est le roman de la difficultés des immigrants à touver leur place dans leur pays d'accueil. Parce que les habitants de "souche" ne leur laissent pas de place. Et parce que ... » Lire plus
« Je l'avais lu dans la foulée de la vaine attente. j'ai beaucoup appris sur le poids des traditions ancestrales qui gèrent les relations familiales pakistanaises d'autant plus difficiles quand les nou... » Lire plus